Mais maintenant qu'il devait reprendre la lutte, se battre à nouveau avec les mots pour accoucher d'un autre prétendant au titre d'œuvre littéraire - avait-il vraiment le choix ? - il avait peur. Pire, tombé au hasard de ses errances informatiques sur un article traitant de l'écriture d'un second roman, il s'était mis à paniquer, succombant à la pression d'un défi qu'il ne saurait jamais relever avec brio.
Mais ce matin, Jonathan était de tout autre humeur. Il avait trouvé, il voyait clair. Il savait comment ne pas tomber dans le piège du second roman.
Il avait décidé d’écrire un troisième roman. »
Gustave Borjay vous salue.
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Certes. Mais trois sans deux ? |
Ah ! Si ça pouvait être aussi facile !
RépondreSupprimerToujours avoir un coup d'avance.
RépondreSupprimerJonathan est clairvoyant.
RépondreSupprimerPasser directement au 3è roman pour ne pas tomber dans l'écueil du 2è... Quelle idée grandiose!
RépondreSupprimerAvec ça, s'il ne rafle pas tous les prix littéraires...
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