Vient alors, s’il a jusque-là tenu bon, le moment où il y met le point final.
Puis il dit : « je relis mon œuvre ». Il peut y passer du temps.
Enfin, tout pourra s’arrêter avec le second point final, lorsque la correction est achevée.
Le roman est né.
Gustave Borjay vous salue.
Que dire de plus ? |
Ato gato (et félcitations) !
RépondreSupprimerBravo au Papa ! Hâte de découvrir la petite merveille.
RépondreSupprimerCela m'intrigue. J'admire. Respect total.
RépondreSupprimerExtra! Un romancier -blogueur. Hâte de vous lire
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