Il en est de même avec votre premier envoi de manuscrit. Vous le confiez un beau jour à la poste, qui s'empressera - plus ou moins vite - de le faire parvenir à la maison d'édition dont vous avez noté l'adresse. Vous savez d'avance la réponse que vous recevrez. Pourtant, vous ne pouvez vous empêcher de vous dire qu'il demeure une chance de succès. Rien n'est écrit après tout.
Et puis la tartine tombe du côté du nutella.
Et elle est entre vos mains, la réponse. Rédigée dans le plus pur style anonyme, avec un souci maniaque de ne laisser aucun indice quant à la possibilité que votre manuscrit ait été lu.
Mais Gustave Borjay vous connaît, et sait bien que, parfaitement en phase avec votre pathétique inconséquence, vous continuerez à étaler du nutella sur des tranches de brioche.
Gustave Borjay vous salue.
Faites des réserves, vous en aurez besoin. |
Le chocolat, c'est bon pour le moral. Et il suffit d'une tartine qui tombe du bon côté...
RépondreSupprimerSans essayer, n'aucun succès !
RépondreSupprimerCette pathétique inconséquence est forcément talentueuse et persévérante.
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