Et pourtant, ce que personne n’oserait plus ne serait-ce que concevoir en pensée, ne parlons même pas de projeter sérieusement, Gustave Borjay, au mépris de tous les cris d’orfraie poussés par une nation saisie d’horreur, au mépris de toutes les organisations non gouvernementales de la planète, au mépris même des plus émouvants déclarations politiques rédigées au plus fort de la nuit par des cabinets pleins d’une magnifique abnégation, Gustave Borjay l’a fait.
Il a utilisé le subjonctif imparfait.
Gustave Borjay vous salue.
« ET MAINTENANT, AU TOUR DU SUBJONCTIF PLUS-QUE-PARFAAAIT ! »
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Bravo, clap clap clap clap, un peu le genre de courage qu'il manque à notre président !
RépondreSupprimerIl était important qu'il l'utilisât, qu'il montrât l'exemple, qu'il encourageât les autres à ne plus en avoir peur. Merci Gustave le preux.
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